Mandalay

Mandalay

Nous voici arrive a Mandalay, après 10h de bus plutôt confortable, juste un peu kitch sur les bord (cf photo) mais nous avions de l’eau, un Fanta orange, un petit snack et même une brosse a dent et une serviette pour se rafraîchir, on a été étonné du bus et du service, on ne peut que recommander la compagnie Shwe Mandalar Express et l’agence Seven Diamond qui nous a vendu les billets.

Mandalay est la 2eme plus grande ville du pays, une ville fortement étendue et d’ou on pourra se rendre sur différent site historique de la région. Notre hôtel se situe juste a cote de la gare, nous sommes dans un quartier un peu plus anime que celui que nous occupions  a Yangon.

Ce matin après avoir pris notre chambre on s’est un peu repose jusque midi ensuite nous avons été réserver notre bateau pour nous rendre a Bagan le 15 ensuite, on a été dîner et dans l’après midi, on a fait un petit tour dans le quartier, nous avons également pu visiter une fabrique de feuille d’or, vous savez, les feuille qu’on colle sur les bouddhas 🙂

Pour finir en soirée on a été manger un petit bout, demain la journée sera nettement plus chargée 🙂

3 réflexions sur « Mandalay »

  1. Hello les beer men !

    Très intéressant les photos montrant les batteurs d’or à l’oeuvre.

    IL faut savoir que la Birmanie possèdent ses propres mines d’or, cet or sert avant tout à la vente pour les offrandes des temples et monastères et à la restauration de ceux-ci.

    Pour ceux ou celles qui veulent en savoir plus ….au sujet d’un atelier de batteurs d’or ?

    Un ouvrier prépare le travail des batteurs. Il dépose de petites feuilles d’or d’environ 2 cm de long sur 1 cm de large entre des feuilles de papier et enveloppe le tout, réalisant ainsi une sorte de petit paquet carré d’environ 10 cm de côté et de 6 à 7 cm d’épaisseur.

    Le batteur bloque ce paquet dans un châssis de bois posé sur une pierre inclinée et, debout, les fesses appuyées sur une barre de bois derrière lui, il frappe pendant des heures, à coups de marteau réguliers sur le paquet afin d’amincir progressivement les feuilles originales. La masse pèse 3 kilos.
    Ils sont deux ou trois, côte à côte, à frapper ainsi. Pour asséner chaque coup avec force, le batteur accompagne de tout son corps le mouvement de ses bras, seules ses jambes restent tendues. Son torse nu ruisselle rapidement de sueur.

    Les feuilles ainsi obtenues, sont vraiment très très minces jusqu’à avoir un millième de mm d’épaisseur.

    Puis, dans un atelier voisin, hermétiquement fermé à tout courant d’air, 3 ou 4 femmes travaillent avec une spatule en corne de buffle, à rectifier la surface des feuilles d’or, faisant un carré parfait de quelques centimètres, qui est inséré entre des feuilles de papier de bambou pour former une sorte de carnet. Toutes les chutes, les petites découpures sont bien sûr récupérées et seront réutilisées. Généralement, les feuilles d’or sont découpés en carré de 3 cm pour la vente. Pour info, 24 gr d’or permet de confectionner 2200 feuilles !!!!

    Ensuite les feuilles sont vendues aux pèlerins pour recouvrir les statues où elles doivent être bien fixées car elles s’envolent au moindre coup de vent vu leur légèreté.

    Les feuilles s’exportent, surtout en Asie, mais aussi dans le monde entier. En Birmanie, elles servent à couvrir régulièrement les dômes des pagodes. Seuls les hommes peuvent coller eux-mêmes les feuilles, et c’est un acte méritoire, qui leur assure une prochaine vie meilleure.

    Et les femmes alors, elles n’on pas droit à une prochaine vie meilleure ?????

    Sur cette interpellation, je vous quitte.

    Bizzzzzzz à nos deux Beer men.

    Papa wiki.

  2. D’aprés les photos c’est une ville trés pauvre et sale.Elle parrait trés triste par rapport aux autres.On se croirait dans des bidonvilles.
    Les gens autour de la table font quoi exactement?
    Quel contraste avec les autres villes.
    Bonne visite et au plaisir de vous revoir sur d’autres cieux.

    Mimi

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